Caroline et Marion font partie de ces rencontres professionnelles qui matchent bien ! La première a eu l’idée d’un système de consigne pour la restauration à emporter en en livraison. La seconde a rejoint le projet pour l’aider à se développer. Leurs profils hyper complémentaires font de l’aventure dabba une entreprise qui a toutes les chances de fonctionner. Grenoble, soyez prêt, la révolution dabba a commencée !

Les ➕  de dabba

👉Un contenant dabba en ➕ c’est un déchet plastique en ➖ ! Un geste à l’incidence réelle dans la protection de l’environnement.
👉Des contenants fabriqués en 🇫🇷.
👉Des jetons faits à partir de filets de pêche 🐟 dabba a pour projet d’envisager un système dématérialisé afin d’aller plus loin dans l’idée de banir le plastique.
👉Un fort « potentiel sympathie ». Leur communication pétillante accompagne l’évolution des mentalités et favorise l’adoption du système en mettant l’emphase sur le sentiment de fierté d’utiliser le produit, de faire une bonne action 😇.
👉Très reconnaissable sur le plan local, il s’agit de la seule entreprise locale qui propose un système de consigne pour la restauration !⠀
👉 De nombreux partenaires locaux : Ronalpia, incubagem, Gaia… mais aussi des institutionnels comme la métropole de Grenoble. Quand autant de monde croit à un projet… c’est qu’il a de grandes chances de prospérer !!⠀
👉Une consigne à 5€, ce qui équivaut à peu près au prix d’un contenant verre identique dans le commerce. Donc au piiiiire, si vous ne commandez plus jamais à emporter dans un restaurant partenaire, gardez votre boîte dabba, ce sera toujours mieux qu’un Tupperware en plastique !⠀

📌 « Dabbawala » est le nom donné aux livreurs de lunchbox à Bombey, là où plusieurs millions de repas sont livrés chaque jour.⠀

© Dabba

Coup de 💛

La restauration à emporter et en livraison génère chaque année 215 000 tonnes de sacs de caisse et d’emballages de produits (source : cniid).
De son côté, depuis son lancement dabba a permis d’économiser 2000 emballages soit environ 60kg de déchets plastique (*en 2019, la WWF estimait que l’on produisait 53kg de plastique par habitant et par an).