Emylie fait partie de ces jeunes trentenaires qui choisissent de quitter l’emploi pour lequel ils ont fait de longues études, afin de faire quelque chose de plus en accord avec leurs valeurs. On fait ici face à un vrai phénomène de société : fraîchement diplômés, les jeunes se retrouvent confrontés à un monde du travail qu’ils accusent de ne pas avoir de sens… Et qui décident de créer leurs propres règles. Car après tout, « quite à galérer, autant le faire pour quelque chose qui nous plaît ! ».
Petite fille de couturière, Emylie lance Dahu Valley il y a 1 an et demi avec au départ, l’objectif de s’adresser à un public de randonneurs, comme clin d’œil à notre région (si vous connaissez la fameuse histoire qui raconte que…😜). Sa démarche environnementale l’amène à travailler avec des matières responsables et à faire évoluer sa ligne vers des accessoires de consommation nomade, minimaliste et zéro déchet. Elle propose des objets pour bébés, mais également des mouchoirs, des protections pour vos livres et une gamme de produits de qualité qui s’étoffe d’année en année.

Les ➕  de Dahuvalley

♻️ des créations pratiques qui accompagnent votre transition vers le « zéro-déchet »

👌des objets d’hygiène qui s’intègrent avec style dans votre routine quotidienne

© Dahu Valley

Coup de 💛

Emylie souligne l’importance de toujours tenter les meilleurs compromis, même si elle doit également composer avec certaines contraintes de coût ou de disponibilité. Pour ses cotons démaquillants extrêmement doux qui conviennent même aux peaux les plus sensibles, elle a dû choisir une matière qui contient du polyester… Mais veille à ce qu’il soit Oeko-Tex !

Le saviez-vous ❓

Créé en 1992, le label Oeko-Tex contrôle la qualité des vêtements et s’assure qu’ils ne sont pas nocifs pour la santé (coloration des tissus, traitements fixateurs, etc.) et donc par extension, pour la planète.

👉 Oeko-Tex ne veut pas pour autant dire BIO (le BIO porte sur le mode de production de la matière et non pas sur ses étapes de traitement)

👉 Le label GOTS va plus loin encore avec une charte « textiles biologiques »